dimanche 11 décembre 2016

jeudi 1 décembre 2016

samedi 26 novembre 2016

notre Margot a 18 ans




Pouvoir aller au bout de tes rêves, sans limites! 
C'est mon souhait, pour toi, mon poussin!
de tout ♥..
M&M

mardi 1 novembre 2016

lundi 24 octobre 2016

dans Sweden, il y a le mot Eden [part.2]

oui, je sais, il est désormais grand temps de formater notre esprit selon le calendrier automnal et ainsi, commencer à réfléchir au long hiver froid et humide en perspective mais comme cela est inéluctable, autant se nourrir encore de nos belles images, des couleurs et des odeurs qui m'ont beaucoup apporté cet été, en Suède. Dans des lieux reculés, dénués de toute activité touristiquement récréative, on s'est perdus dans les bois, on a parcouru des kilomètres au milieu de nulle part, sur des bicyclettes déglinguées, on a délicieusement frissonné de froid sur les plages sauvages de Botnie et mangé du hareng fumé au petit-déjeuner. Et surtout, on s'est émerveillés, sans se lasser, face aux miroirs d'eau et les étendues de forêts de pins et de bouleaux (qui approvisionnent ikéa).










dimanche 9 octobre 2016

lundi 12 septembre 2016

dans Sweden, il y a le mot Eden [ part.1]

C'est encore une fois le besoin de recul qui m'a retenue, sans trop de difficultés, je l'admets, de publier sur le blog les moments de cet été.  Il s'agit bien davantage de mon handicap devant la sélection obligée que je dois opérer sur les centaines de clichés pris plutôt que ma réserve, ma retenue.
Maintenant que la rentrée des classes s'est brutalement amorcée (depuis ce matin, 8h00, tapantes) je prends pleinement conscience que la Suède, la Camargue, sont devenus des pages de ma mémoire : deux mois vécus se condensent et palpitent. Moments exquis où il fera bon m'enfuir.

Parcourant le Golfe de Botnie



notre plage des premiers jours
un ponton parmi une centaine d'autres sur la mer de Botnie

A' chacun son jeu préféré
fiskebutik
le pêcheur suédois
son village
ces villages sont exactement comme se les représentait mon imaginaire

vendredi 22 juillet 2016

matins. après-midi et soirs


parce qu'à mon retour de Nice, le 15 juillet, j'ai décidé de faire le noir complet sur la terreur vécue, et de ne laisser illuminé, comme au théâtre, sur la scène de mon mental, que mes pensées fascinées, par le rire, un besoin vital, par le retour sain à la Légèreté *
Mes instantanées de liesse :
Dans ma version "La nouvelle vie de Paul Sneijder" ma première promenade tant convoitée, avec Nala, le chien le plus esseulé du monde et le plus attachant... le bonheur pour elle comme pour moi.
Des retrouvailles festives, gaies avec Catherine, my beloved Irish girl.
Des bains avec mon amoureux, avec qui la vie est un jeu d'adolescent, tout le temps,.
Une vraie pédicure ratée mais j'adore mon esthéticienne et je lui pardonne tout.
De la cuisine inventée, un merlan nordique au curcuma avec petites tomates fraîches de mon micro-potager, des oignons de Tropea, du thym, du basilic, de l'huile d'olive, un délice,.
L'amitié sororale de Francesca  qui panse toutes les plaies et surtout celles de l'âme grâce à sa science des plantes médicinales.
Et des souvenirs, les seuls qui vaillent, celui des feux d'artifice sur la Promenade de la ville affectionnée qui m'a si souvent accueillie, sa mer heureuse, ses couleurs.
Nice, ma belle, tu renaîtras.





...




*cette phrase est une appropriation plus ou moins fidèle d'un passage tiré du roman d'Eric Reinhardt "L'amour et les forêts", prix Renaudot des lycéens 2014.

dimanche 10 juillet 2016

un peu fièvreuse, je m'égare, poire en tête




alors que la fraîcheur des matins se fait sacrée en ces jours incandescents, les après-midi brûlants se succèdent à la cadence des repas froids et des longues siestes essentielles comme un sursis, les volets fermés d'où percent les rais du soleil, ils dansent sur les murs, le ventilateur ronflant,
que les chats sommeilleux se cachent dans l'ombre des meubles ou des arbres, que des petits vins blancs glacés émoustillent les esprits moites, engourdis de chaleur à la fin du jour, où on se jette dans l'eau presque tiède de la piscine, que les géraniums ont soif, les lézards immobiles sur les pierres se désèchent,
on se liquéfie béatement au rythme des cigales chantant à tue-tête et décidons que l'été a ses plaisirs certes, mais que nous irons prendre le frais nordique, bientôt.

vendredi 24 juin 2016

je me fais voyeuse





Une nouvelle construction près de chez nous. derrière les arbres et le muret d'enceinte. 
J'adore la luminescence que la maison émet la nuit. Le mur externe côté est, est recouvert d'une paroi métallique d'où la lumière rayonne par des petits trous en dessinant une espèce de constellation.