EN ATTENDANT...

En attendant, je tue le temps. 

C'est horrible comme expression quand j'y pense! Mais corrigeons le malentendu.

En pleine contrainte, je suis couchée du matin jusqu'au soir et du soir jusqu'au matin pour amadouer un foutu lumbago ( inattendu, le con, il m'a prise de surprise ) qui me neutralise depuis 2 jours et encore pour 2 jours. Mais, vu  qu'il faut voir du positif partout ( ça aide, il paraît) , je m'évertuerai à mettre à profit le temps en faisant tout ce dont je rêve quand je n'ai pas le temps, c'est-à-dire, me prélasser dans mon lit qui devient un monde à lui, où tout ce qui trône généralement sur ma table y vient en vacances, me mettre au repos, au vrai, sans tentation d'aller faire un tour ou quoi. 

Soit. C'est bien moins une maladie subie qu'un moment de paresse béni, donc. 

J'alterne ainsi

1. des bouquins ( first!)

2. des films

3. des copies à corriger ( mais ça me provoque des réactions cutanées donc, vaut mieux pas abuser) 

4. des instagramisations (à gogo)

5. des conversations avec mes poilus ( infusion de sage patience)

6. des siestes... comme ça, pour rien... 

7. des whastappages, des facebookages ( sans modération) 

8. des visites à mon blogroll adoré ( sans restriction aucune) 

Bref, sous la contrainte, je glande et j'aime bien.